Avez-vous de bonnes histoires ?

Diane a écrit:

Une infirmière d'un hôpital des Antilles se précipite, affolée dans le
bureau du médecin-chef:

"Docteu, Docteu, dehô, il y a un malade avec beaucoup de boutons
pâtout. C'est gave, Docteu?

"Impétigo!"

"Non, non, Docteu, reprend l'infirmière, C'est pas impétigo, C'est
un gwand maigue."

J'sais pas où la mettre mon histoire mais c'est pas comique en plusse!!! :x
Bon je ne suis pas adepte des râleurs de "c'était mieux avant" c'est juste un ptit texte d'humour.
C'est un ptit texte glané sur le net pour nous les vieux.




On s'en tire pas si mal, n'est-ce pas????

Les personnes de plus de 40 ans devraient être mortes!!!
Selon les régulateurs d'aujourd'hui et les bureaucrates, les gens qui étaient enfants pendant les années 40, 50 et 60 ne devraient pas avoir survécu. A cause des conditions de vie...

Nos berceaux étaient couverts de couleurs vives sur base de plomb.
Rien ne nous empêchait d'entrer une fourchette dans une prise électrique.
Il n'y avait pas de couvercles ou bouchons à l'épreuve des enfants sur les bouteilles de médicaments, portes, armoires.

Lorsque nous nous promenions en bicyclette, nous ne portions pas de casques.(Sans parler des risques que nous prenions lorsque nous faisions de l'autostop).
Nous prenions des "rides" d'auto avec nos parents sans porter de ceintures ni sacs gonflables.
Une "ride" en arrière d'un pick-up une chaude journée d'été était spéciale.

Nous buvions de l'eau directement du tuyau d'arrosage du jardin et non d'une bouteille. Horreur!

Nous mangions des gâteaux, du vrai pain, du beurre, des liqueurs avec du vrai sucre mais nous n'étions jamais obèses parce qu'on passait tout notre temps à jouer dehors.

Nous partagions une bouteille de liqueur avec quatre de nos amis, buvant directement de la bouteille et personne n'en est mort.

Nous passions des heures à bâtir des go-karts à partir de scrap et ensuite nous descendions une grande côte pour s'apercevoir, rendu en bas, que nous avions oublié les freins. Après être entré dans les buissons une couple de fois, nous apprenions à résoudre le problème.

Nous sortions de la maison le matin et jouions toute la journée dehors en autant que nous étions de retour avant que les lampadaires s'allument.

Personne ne pouvait nous rejoindre de la journée. Pas de cellulaires.
Impensable!

Nous n'avions pas de Playstations, Nitendo 64, X-Boxes, pas de jeux vidéo du tout, pas 99 canaux sur le câble, pas de vidéos, pas de cellulaires personnels, pas d'ordinateurs ou de "chat" internet.

Nous avions des amis! Nous allions dehors et les trouvions.

Nous jouions au ballon-panier et quelques fois le ballon faisait vraiment mal.

Nous tombions des arbres, avions des coupures, nous nous brisions quelques os et dents et il n'y avait aucune poursuite de ces accidents. C'était seulement des accidents. Personne n'était à blâmer sauf nous-même. Vous vous souvenez des simples accidents?

Nous nous battions et nous donnions des coups de poing. Nous en récoltions des yeux au beurre noir et nous apprenions à passer à travers.

Nous inventions des jeux avec des bâtons et des balles de tennis. Nous mangions des vers et des tartes "à la bouette". Et malgré les
avertissements, pas de yeux supplémentaires ne sont "poussés" dans notre visage et les vers ne sont pas restés dans notre estomac pour toujours.

Nous allions chez des amis en bicyclette ou à pieds, frappions à la porte, sonnions la sonnette ou entrions simplement dans la maison pour leur parler.

Quelques étudiants n'étaient pas aussi adaptés que d'autres, alors ils ne réussisaient pas leur année et devaient recommencer. Horreur! Les résultats des tests n'étaient pas ajustés pour aucune raison.

Nos actions étaient les nôtres. Les conséquences étaient prévues.

Mais cette génération a produit les plus grand preneurs de risques et les plus grand résolveurs de problèmes de tous les temps. Les derniers 50 ans ont été une explosion d'inventions et de nouvelles idées. Nous avions la liberté, les succès, les échecs et la responsabilité et nous avons appris à travailler avec.

Et vous êtes l'un de ceux-là! Félicitations.

WOW, pas comique mais très réaliste. Je me suis reconnu un peu partout !

C'est très réaliste comme texte. Je vois mal un ado d'aujourd'hui être obligé de vivre comme nous le faisons... et pourtant, nous étions heureux et occupés de nos journées.

EDIT: Comme disait Pépère "C'était le bon temps"

Très belle réflexion, Di! !

Citation :

Nous allions chez des amis en bicyclette ou à pieds, frappions à la porte, sonnions la sonnette ou entrions simplement dans la maison pour leur parler.

Ça me fait penser à notre site! :x ! !

Génial comme analogie Jaco.

C'est vrai qu'ici on est si bien...on entre et on se retrouve a la maison.

Et la maison commence à se remplir d'ami(e)s

La femme d'Albert Berouette se regarde toute nue dans le miroir et se plaint à son mari d'avoir des petits seins. Berouette, au lieu de la consoler et de lui dire qu'elle a tort, lui propose un moyen pour avoir des plus gros seins.
« Femme, chaque jour, prend un morceau de papier de toilette et frotte le entre tes seins. »

La femme veut bien essayer. Elle prend un morceau de papier de toilette et commence à le frotter entre ses seins.
Bientôt, elle s'interroge.
« Combien de temps devrais-je faire ça avant que mes seins ne se mettent à grossir ? »

« Hum !? Quelques années, je dirai. » répondit Berouette.
La femme continue à le faire. Bientôt, elle s'interroge à nouveau.

« Tu es certain Albert qu'en frottant mes seins chaque jour avec du
papier de toilette qu'ils vont finir par grossir mes seins ? »

Et Albert Berouette de répondre :
« Ça a bien marché pour ton cul. Non ?


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Une jeune femme blonde se rend chez France Telecom pour envoyer un message a sa mère qui se trouve aux Etats-Unis.

Quand l' employé lui dit que cela lui reviendrait approximativement à

15 EUR, elle s' exclame : Mais je n' ai pas assez d' argent !!! Mais par

contre, je suis prête à TOUT pour envoyer un message à ma mère.

L' employé regarde la jolie blonde et dit, dubitatif : Vraiment tout ?

Oui, oui, vraiment tout, lui répond-elle.

OK, suivez-moi dit l'employé en se dirigeant vers la pièce du fond.

La blonde le suit sans réticence aucune.

Venez et fermez la porte ! lui dit l' homme.

Elle obéit.

Maintenant, mettez-vous à genoux !

Elle obéit.

Descendez la tirette de mon pantalon !

Elle obéit.

Maintenant, poursuivez.... . sortez-la...bête...

Elle obéit, elle saisit l' engin avec ses deux mains, mais elle marque

un léger temps d' arrêt.

L' employé ferme les yeux et l' encourage : Allez, Allez...vas-y,

vas-y...

La blonde lentement approche sa bouche près de l' engin... et le tenant

près de ses lèvres, elle dit:

Allo ? Allo, Maman, tu m' entends ?

AHHHHH et Leil qui se demandais si ça fonctionnait les farces de blondes ici...

> >NOUVELLE TECHNIQUE POUR APPRENDRE AUX CITOYENS FRANÇAIS COMMENT BIEN
> >PRONONCER LES MOTS ANGLAIS.
> >
> >[Phonétique] - [Anglais] - [Traduction française]
> >
> >- Ail ou radis? - Are you ready? - Êtes-vous prêt?
> >
> >- Débile - The bill - L'addition.
> >
> >- Mords mon nez - More money - Plus d'argent.
> >
> >- On le donne à ces connes. - Hold on a second. - Ne quittez
> >pas, un instant.
> >
> >- Toute ta queue traîne. - To take a train. -.Prendre le train.
> >
> >- Qu'on gratte tous les jeunes! - Congratulations! - Félicitations!
> >
> >- Marie qui se masse. - Merry Christmas. - Joyeux Noël.
> >
> >- Oui Arlette. - We are late. - Nous sommes en retard.
> >
> >- Mais dîne Franz. - Made in France. - Fabriqué en France.
> >
> >- Il se pique Germaine. - He speaks German. - Il parle
> >allemand.
> >
> >- Ahmed a l'goût de tripes. - I made a good trip. - J'ai fait un bon
> >voyage.
> >
> >- Youssef vole ma femme au lit. - You saved all my family. - Tu as
> >sauvé toute ma famille.
> >
> >- Sale teint de pépère. - Salt and pepper. - Le sel et le poivre.
> >
> >- Six tonnes de chair. - Sit on the chair. - Asseyez-vous sur la
> >chaise.
> >
> >- Dix nourrices raidies. - Dinner is ready. - Le dîner est
> >prêt.
> >
> >- Beaune-Toulouse. - Born to lose. - Né(e) pour perdre.
> >
> >- Les slips tout gais serrent. - Let's sleep together. - Dormons
> >ensemble.
> >
> >- Guy vomit sous mon nez. - Give me some money. - Donne-moi un peu
> >d'argent.
> >
> >- Âme coquine. - I'm cooking. - Je cuisine.
> >
> >- Délicate et saine. - Delicatessen. - Épicerie fine.
> >
> >- Deux bouts de chair. - The butcher. - Le boucher.
> >
> >- Saintes salopes. - Thanks a lot. - Merci beaucoup.
> >
> >- Varices de grosseur. - Where is the grocer? - Où est
> >l'épicier ?
> >
> >- C'est que ça pèle. - Sex appeal. - Attirance sexuelle.
> >
> >- Ma queue perd son alcool. - Make a personal call. - Passer un coup
> >de
> >fil personnel.
> >

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>>Le succès
>>Le succès à 2 ans c'est .de ne pas faire dans ses culottes
>>à 3 ans le succès c'est .d'avoir dents
>>à 12 ans le succès c'est .d'avoir des amis( es )
>>à 16 ans le succès c'est .d'avoir un permis conduire
>>à 20 ans le succès c'est .de bien faire l'amour
>>à 35 ans le succès c'est .d'avoir de l'argent
>>à 50 ans le succès c'est .d'avoir de l'argent
>>à 60 ans le succès c'est .de bien faire l'amour
>>à 70 ans le succès c'est .d'avoir un permis de conduire
>>à 75 ans le succès c'est .d'avoir des amis(es)
>>à 80 ans le succès c'est .d'avoir des dents
>>à 85 ans le succès c'est .de ne pas faire dans ses culottes

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À vous tous, informaticiens en herbe ou confirmés

Êtes-vous Aware

Les Américains sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique (shareware, hardware, freeware,netware, etc Eh bien nous, les Belges, une fois, nous sommes aussi forts qu'eux, et nous nous faisons plaisir en vous communiquant notre langage informatique.

Comment dit-on en Bruxellois :

Un logiciel très compliqué : un assomware

Un logiciel de nettoyage d'un disque dur : baignware

Un logiciel antivirus : un mouchware

Un logiciel pour documents en attente : purgatware

Un logiciel de merde : suppositware

Un logiciel de classement : un tirware

Un logiciel de demande d'augmentation : vatfairware

La procédure de sortie d'un logiciel : un aureware

La poubelle de Windows : dépotware

Une réunion des directrices de l'informatique : tupperware

Mais la liste n'est pas exhaustive, c'est à vous de ware

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<<<<<<<<<Avertissement>>>>>>>>>

<<<<<<<<<Langage religieux>>>>>>>>>>>>>>>

<<<<<<<<<Oreilles sensible d'abstenir >>>>>>>>>>

Curé débordé

Un jour, un curé débordé de travail demande à son bedeau de le remplacer pour officier une rencontre avec un mourant....
Le bedeau hésite, ne sachant trop que faire.
Le curé lui dit: "Prends le Saint-Chrême, la ouate et l'eau bénite, puis
fais des onctions sur le corps du mourant en disant n'importe
quoi, pourvu que ça finisse par " OUS " comme : "Sanctus, Orémus,
Deus"...
Lorsqu'il arrive auprès du mourant, ne se souvenant pas de tout ce que lui avait dit le curé, le bedeau s'approche de lui, l'asperge et dit:
"Fais ta trousse, mon ti-mousse, tu pars pour une calisse d'escousse!" AMEN!

Citation :

"Fais ta trousse, mon ti-mousse, tu pars pour une calisse d'escousse!"

Fameuse celle-là!

Diane a écrit:

AHHHHH et Leil qui se demandais si ça fonctionnait les farces de blondes ici...

Voui !!! lol !

Un ptit problème évident. :=BZ=:

Ça dû être pas mal gênant !

http://www.picdo.net/Fichiers/41d97406c58241a82222b65f06d223f0/MonAmour.pps

Très drôle ...

Ça finit tu les étoiles un jour?


Qui m'a dit de ne jamais ouvrir un fichier pps????? C'était ici ou non?

Quelles étoiles ?

Je n'ai vu que des étoiles sur une musique d'amour en ouvrant ce fichier...

:x c'était pas ça?????

Après j'ai vu pps alors j'ai tout fermé en parano que je suis.

Tabar... Les étoiles sans fins !!C'est pas bon pour une grippe d'homme ça !

Tu n'as pas rêvé, Diane, j'ai vu et entendu la même chose !

Tu crois que c'est le vin Lord????? :=BZ=: tu as pris combien de coupes ce soir???

Moi c'est normal je ne bois tellement pas... deux coupes et je commence a rire.

Ben voyons, faut cliquer sur les pages en bas !

Oki j'ai clicqué sur la bande pour faire descendre...


Warf.... Lord on est allumés au vin ce soir je pense.
Ou ben tu as la grippe toi aussi :=BS=:

C'est la fièvre!!!!!!


:=BZ=:

Non, non, si on clique en bas, ça dit " laisse le poison faire effet mon chéri" ! Capucine , une amie ?

Je rêve ou quoi ? Moi qui suis nulle en informatique, j'ouvre facilement des PPS, et pas toi Lord ?

Il y a plusieurs pages en bas. L'histoire, c'est le mari qui est en train de mourir et il avoue à sa femme qu'il l'a trompée avec tout ce qui bouge. Elle l'écoute patiemment et enfin lui dit : Laisse agir le poison mon chéri ....

Ben moi je la trouve drôle !

Oui, elle est bonne Capucine, c'est juste que j'ai un peu peur du poison !

C'est l'histoire d'une institutrice de maternelle, au milieu de janvier,
le mois le plus dur pour tout le monde...

Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour
aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à
enfiler.

Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les
bottes sont enfin chaussées et le gamin dit : «Elles sont à
l'envers maîtresse».

La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en
effet il y a eu inversion des pieds...

Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les
remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les
bottes soient rechaussées, aux bons pieds.

Et là le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les
enfants: «C'est pas mes bottes».

À ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une
baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se
calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant...

Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne
répond pas.

Elle dit alors : «Bon, allez, on les enlève» et elle se met à
nouveau au boulot.

Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
«C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman
a dit que je dois les mettre».

Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme
et entreprend de lui remettre ses bottes.

L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent très fière.

Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son
manteau, lui met son cache-nez et lui demande : «Où sont tes
gants?».

Et le gamin de répondre le plus simplement du monde : «Je les ai
mis dans mes bottes.»